Ile Rousse, Algajola, Lumio, Calvi

   

En me revêtant du bel habit grammatical de mes ancêtres, durant vingt ans vous m'avez comblé de vos bienfaits. Non, je ne puis me retenir, un feu ardent embrase toutes mes veines. Si Dieu le veut, chez vous, chez moi je reviendrai.

 

Ile Rousse, Algajola, Lumio, Calvi que Dieu et son Christ, notre bien-aimé Rédempteur, vous préservent. Splendide Région, toujours fidèle aux vertus ancestrales, tes portes sont ouvertes, tes portes sont fermées. Je t'adresse mon affection la plus sincère.

 

Afin d'improviser pour toi o lumineuse clairière pastorale, je prendrai mes repas avec les anges qui sont demeurés fidèles au Seigneur. Jamais, avec l'aide de l'esprit saint, je n'irai avec les rebelles qui sont enfermé dans le Tartare. Je veux être uniquement abreuvé par l'Eau Vivifiante donnée, gratuitement par le Logos, le Verbe, le Fils de Yah, Souverain Seigneur.

 

O ma Balagne, o mon Ile, écoutez la voix de notre Père Céleste (Gjjevvah en langue corse). Ses courageux Ambassadeurs sont chez vous.

Tendite l'arechja senza teme zotichi, gattivi criticatori é impii. Fendu cusì avente  Vera Felicità. U Rinnovu ùn hé luntanu.

Evviva u Suvranu ! Morte pé pilutò, u gran Furdanu !