Divine psychiatre
Elle a dit:
La psychiatre allez la voir
Je suis promptement venu en cherchant l'espoir
Vos paroles étaient très réconfortantes
On aurait dit Oiseaux Célestes qui chantent
Souffrances accablantes et les douleurs
Vous avez su les chasser de mon cœur
Quelle Science o divine psychiatre
Pleine de douceur et non acariâtre
Ciel, quelle humilité étonnante
En prenant mon luth, oui, pour elle je chante
Je désire pour toujours l'immortaliser
Toutes ses paroles sont noblement parées
Pourquoi restez-vous dans cet endroit enfermé
Sortez, l'humanité, il faut la soulager
Augmentez sans cesse votre grand pouvoir
Je n'ai jamais rencontré pareil savoir
O merveilleuse doctoresse aimable
Ennemie de la Médecine du Diable
Bien bâtie sur le dur roc et non le sable
Vous n'aimez ni les chimères, ni les fables
Les Chérubins vous ont donné les baguettes
Pour bien faire taire les rumeurs de nos têtes
Vous faites cela tout à fait gratuitement
C'est ainsi qu'il faut guérir, généreusement
Vous méritez remerciements et louanges
En pénétrant chez vous j'ai cru voir un ange
Votre bureau lumineux sentait le parfum
La cannelle, la myrrhe, l'alœs, le thym
Mon île réclame les bons Spécialistes
Pour donner les bons soins aux nombreux artistes
S'il vous plaît, ô envoyée des cieux, déplacez-vous
Ils souffrent et sont prêts à verser les gros sous
Moi je n'ai que la sécurité sociale
Je ne peux payer celles qui chassent le mal
Le bon médicament que vous m'avez donné
À, mon avis n'est pas du tout un succédané
Ce soir, j'interroge chanteur talentueux
Défenseur des malades, homme vertueux
Je lui envoie mes vers afin qu'ils soient chantés
Il aime Vrai Médecine Chasteté
Ne me remerciez, vous méritez cela
Pour me réjouir il affermira vos pas
Pourquoi, si jeune, restez dans ce lieu obscur
Il vous faut l'ardent soleil pour servir le pur
Refrain:
Tourterelles de chez moi
À roucoulement plein d'émoi
Je vous appelle à nouveau
Vous m'avez toujours soutenu
Oui, vous serez les bienvenues
Pour bien louer une Muse
Qui, ô jamais, ne s'amuse
S'il vous plaît, accompagnez-nous
Elle a affermi mes genoux
À présent je me tiens debout
Je sens que je deviens leste
Malheur à qui la moleste
JMB